A Monsieur le Wali de Constantine, à Monsieur le Président de l'APC de Constantine, à Monsieur le Chef de Daïra de Constantine, aux responsables de la sûreté publique de Constantine
Devant l'envahissement des rues Didouche Mourad et 19 juin 1965 (Rue de France) par des dizaines de commerçants informels,
Devant la situation inacceptable que vivent les habitants de ces rues à cause de ces commerçants informels,
Devant la situation de détresse que vivent les commerçants légaux de ces rues et qui n'arrivent plus à travailler convenablement à cause de ces commerçants informels,
Devant les tonnes de détritus laissés par ces commerçants informels chaque soir,
Devant le blocage complet de la circulation automobile dans ces rues à cause de ces commerçants informels,
Devant l'aspect hideux donné à la ville par ces commerçants informels ayant transformé une des artères principales de la ville en véritable souk,
Devant l'insécurité sans cesse croissante dans ces rues,
Devant cette situation insupportable, insoutenable et inacceptable, une situation qui prive des milliers de constantinois d'arpenter une des artères principales de leur ville,
Nous, citoyens de Constantine, nous indignons devant cette situation catastrophique, dictée par des circonstances particulière mais qui ne mènera nulle part, sauf droit au mur !!!!
Nous, citoyens de Constantine, de différentes couches sociales, de différents profils, demandons à Monsieur le Wali de Constantine, à Monsieur le Président de l'APC de Constantine, à Monsieur le Chef de Daïra de Constantine, aux responsables de la sûreté publique de Constantine, de prendre les mesures nécessaires à éradiquer ce phénomène, à savoir :
- L'expulsion complète et définitive, par la voie de la force publique si nécessaire, de toutes les personnes ayant transformé les trottoirs et la chaussée des rues Didouche Mourad et 19 juin 1965 (Rue de France) en véritable Souk.
- Faire en sorte que cette expulsion soit définitive, irréversible et irrévocable et ce, par la mise en place d'un système de surveillance permanent et de moyens dissuasifs vis-à-vis des contrevenants.
- Une vaste opération de reboisement vient de commencer derrière les immeubles du CILOC et s'étendra jusqu'à la descente menant vers la cité El Bir.
- L'extérieur du marché de Saint-Jean devient un véritable centre d'anarchie du fait de l'installation de plus en plus de vendeurs informels, principalement de fruits et légumes. En fin de journée, le spectacle des déchêts laissés sur place est plus que désolant.
- Les services chargés des espaces verts à Constantine font preuve ces derniers jours d'une grande activité; un effort à saluer.
Fermé plus de deux ans pour des travaux de confortement et de réhabilitation, le pont Hachhouch qui relie les deux quartiers de Foubourg lamy et Bab elkantra, sera très prochainement ouvert à la circulation automobile. (Photo prise le 20 mars 2011)
Dans son édition du 12 mars 2011, EL Khabar Arriyadhi nous rapporte que 12.000 supporters du CSC se sont déplacés à Batna pour assister au match MSPB-CSC. L'article nous indique un fait que nous jugeaons important (je cite mot à mot): les supporters du CSC ont soutenu les camarades de Hadjadj jusqu'à la dernière minute de la rencontre et leur présence était très remarquée. C'est bien, c'est très bien, sauf que ... tout le monde en Algérie (et même ailleurs) sait que ce match n'a jamais eu lieu, qu'il n'a pas été joué et que la rencontre était annulée suite à une décision de l'arbitre !!!! Le journaliste vit-il avec nous, sur terre? Voit-il des choses? Entend-t-il des choses? Hein Jeanne d'Arc? By the way, il ne pourrait pas nous publier aujourd'hui un article décrivant déjà le match Algérie-Maroc du 27 mars prochain? C'était combien le résultat? (Cliquez sur l'image).
Nous avons fait l'effort d'aller chercher l'information et de la publier, faites l'effort de nous laisser un commentaire
Après plus de deux mois de "je ferme les yeux" de la part des services de police, ces derniers ont semble-t-il décidé de partir de nouveau à la chasse des véhicules mal-garés. Aujourd'hui, un peu partout en ville, plusieurs véhicules étaient immobilisés grâce à des sabots. Vers 17h, nous avons même croisé une camionnette de la police remplie de ces petits joujous jaunes se dirigeant vers le centre ville. Il semble donc que le répit donné aux automobilistes ces derniers temps arrive à échéance. Soyez donc attentifs quand vous vous garez, les policiers ont deux mois à combler(Photo prise près du centre culturel Al Khalifa, cliquez sur la photo)
- La rénovation des trottoirs de la cité Fadhila Saadane s'éternise et dure depuis une éternité, pourtant, vu la qualité des travaux, ça n'a vraiment rien de sorcier. ça se terminera un jour, ça se terminera un jour ..... mais certainement pas demain.
- Bientôt, les sardines seront vendues dans des bijouteries. A 300 dinars le kilo, il faudra bientôt prendre une assurance que vous en achèterez, de peur de les abimer. Efrah ya mouwatin !!!!!
- Les envahisseurs de la rue de France débordent d'ingéniosité !!! Après les fils tendus de part et d'autre de la rue pour exposer leurs marchandises, voilà qu'il se mettent à installer de grands morceaux de plastique comme "toiture" dès qu'ils voient que le temps commence un peu à se gâter. Ils protègent la marchandise de leur souk. Et pendant ce temps, les responsables de la ville sont toujours aux abonnés absents.
- Même à l'intérieur des administrations publiques vous n'êtes plus en sécurité !!!! Ce matin, à l'intérieur-même de l'antenne de la commune située aux combattants (Khemisti), une femme s'est faite dérober son sac à main alors qu'elle attendait pour un acte de naissance.
- On procède actuellement à la réfection des trottoirs de la cité des 1100 logements à Zouaghi.
- La direction de la jeunesse et des sports organise ce 19 mars 2011 les assises du handball. Ces assises se déroueront à la maison de jeunes de Boumerzoug.
Des dizaines de personnes s’est semblées ce matin devant le cabinet du wali, la foule des protestataires est composée cette fois-ci essentiellement des familles des disparus et des habitants de Bardo qui n’ont pas encore été relogés ou indemnisés.